Je m'ennuie ce soir, alors je noircie mes poumons et des lettres qui ne seront jamais lu. Chaques fois que je clique sur skyblog.fr mon regard ne peut s'empêcher d'aller furtivement sur la droite, et j'ai la nausée, je me dit que je dois vraiment arrêter d'écrire sur cette plateforme ou d'écrire tout court, car j'écris juste pour une personne, mais elle ne lira pas ce qui suit. Je revois Eline, ma belle Eline, et ses larmes de ce matin, nous deux dans la rue, elle dans mes bras, moi la reconfortant du mieux que je peux, les voitures qui deffilent sur les cotés. Je lui promets que la semaine prochaine nous irons prendre un verre au KK, et que tout ira mieux. Je sais que ce ne sera pas forcement le cas, mais sur le moment cela me parait impossible à lui dire. Je ne pense qu'aux gens, ceux qui arrivent à m'intéresser, la tache étant tout sauf évidente. Je repense à la fierté que j'ai éprouvé mercredi soir quand A m'a invité chez elle, et la douceur de sa peau, sa classe folle que personne ne peut égaler. Ceux et celles qui me veulent, sas grand succés, ce(ux) que je veux. Tout ces prénoms, toujours la même rengaine.
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